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Billets d'humeurs et réflexions

Retour d’expérience : « Je suis entrepreneure et je suis en vie » 300 fous & LiveMentor

By 08/03/2020No Comments

Qui l’eut cru ?!? Ils avaient raison de nous appeler les 300 fous…

Mais je n’en ai pris conscience qu’une fois la machine lancée.

Un post LinkedIn et un pod comme recette magique ?

L’exercice, proposé par l’équipe de LiveMentor, en soi est extrêmement bénéfique : se lancer et écrire dans un format court (et donc devoir faire des choix sur l’angle et ce que l’on dira) sur une thématique précise. En l’occurrence notre relation à l’entrepreneuriat.

C’est l’occasion d’un bilan ou d’une célébration : de se mettre en face d’un miroir et d’énoncer à voix haute ce qui nous anime.

Ce que je n’avais pas anticipé non plus c’est l’effet que cela a eu sur les personnes qui ont vu cet article sur mon profil… Premier enseignement : IL FAUT DONC DIRE CE QUE L’ON FAIT POUR AVANCER… Quelle découverte 😉

Mais l’effet waouh aura été surtout la découverte et redécouverte de la force de cette communauté…. faites de 300 fous et bien plus! Incroyable comme la bienveillance, la soif de découvrir, les divers syndromes sont présents quelque que soit le lieu où l’on a grandi, notre expérience ou notre genre.

Et quelle énergie il s’en dégage !

Finalement, le plus simplement du monde, la puissance de cet exercice et ce que j’en retire encore aujourd’hui, c’est la force de se sentir appartenir à quelque chose de plus grand. L’élan de la création collective. Ce qui fait tant défaut dans notre monde. Les 300 fous et la communauté LiveMentor, c’est le « Wolfpack » (meute de loup) d’Abby Wambach mais pour les entrepreneurs : le loup blanc que l’on nourrit. ENSEMBLE.

En somme c’est l’élan de vie. Cette force qui nous fait avancer, repousser les limites, s’interroger, tomber, repartir, grandir. Entreprendre en grand ou en petit, c’est vivre.

Rattrapage

Pour ceux et celles qui ne l’aurait pas vu, voici le court texte (publication sur LinkedIn oblige – nous étions limité dans l’exercice à 1200 caractères 😅) que j’avais produit :

« Je suis entrepreneure et je suis en vie. Je suis une femme, j’ai grandi dans un petit village… rien ne me destinait donc vraiment à devenir entrepreneure… Pendant longtemps j’ai souffert du syndrome de la bonne élève, celui qui nous pousse à nous jauger et à nous juger sur nos résultats et sur un instant T. Comme si une note (ou un nombre de visiteurs par pages) définissait ce que nous sommes et serons ! Ce syndrome qui –comme la société- nous incite à prendre la voie la plus rationnelle et sûre. Et puis j’ai fini par comprendre. Je ne posais pas le curseur “risque” au bon endroit ! Car notre plus grand risque sera toujours de passer à côté de ce que l’on peut et doit apporter autour de nous. Après 8 ans d’expériences professionnelles, je quitte en juin 2018 un confortable CDI… Depuis j’ai créé BeInnovActiv’ et découvert qu’être entrepreneure c’est hésiter, trébucher mais toujours avancer. Entreprendre c’est revenir aux bases de l’Humain : apprendre de chaque étape, se concentrer sur le possible et non le probable.

Mais et toi, c’est quoi pour toi entreprendre ? »

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